Très jeune, Anna Evans a été attirée par le monde animal, grandissant avec l’idée de « faire quelque chose » pour lui. Après être devenue docteur vétérinaire à 21 ans, elle a poursuivi sa formation à travers le monde, en Californie, notamment, avec l’acupuncture vétérinaire, ce qui n’est guère banal, d’autant qu’elle y a ajouté une formation en homéopathie vétérinaire.

On l’a compris, cette Bordelaise ne rentre pas dans les moules classiques. Et encore beaucoup moins qu’on ne saurait le penser. En effet, en lisant le livre d’un journaliste s’appelant J. Allen Bone (Des bêtes et des hommes), elle découvre qu’il parle avec les animaux, après s’être rendu compte qu’il pouvait déjà le faire avec son chien.

Ce sera pour Anna Evans un véritable déclic, non seulement elle apprendra dès 1988 à parler elle aussi avec les animaux, mais elle mettra au point une méthode celle de la Communication intuitive® qu’elle enseigne.

En l’état, il s’agit déjà d’une avancée majeure, une nouvelle donne par rapport à nos contacts avec notre environnement, ayant une portée tout à la fois philosophique et spirituelle modifiant notre vision de la vie et notre existence.  

RAD      Vous étiez docteur vétérinaire à 21 ans ! C’est ce que l’on appelle une vocation…

Dr Anna Evans Ce n’était pas vraiment conscient en moi, mais je pense que j’étais prédestinée à m’occuper des animaux. Ayant grandi dans une ferme de la région bordelaise, il m’était difficile de ne pas les aimer : je vivais avec eux et avec la nature. Enfant, j’avais déjà la responsabilité de lapins, je faisais la traite de ma chèvre et nourrissais certains animaux. Quand il m’a fallu choisir une orientation professionnelle, il était clair que je ne me voyais pas dans une activité où je serais séparée des animaux. J’ai fait des études de vétérinaire à Paris, puis à Toulouse.

Formation qui s’est enrichie à l’étranger…

Dr A. E. Après ma thèse, j’ai effectivement suivi des formations à l’étranger, notamment aux États-Unis, en Afrique du Sud et dans d’autres pays, sur des thèmes assez divers. Je me destinais au départ à la chirurgie orthopédique animale, mais j’ai ensuite bifurqué vers ce qui m’intéressait profondément : la prévention des maladies. Je me suis occupée de pathologie de troupeaux, et puis après, de plus en plus, de questions davantage en amont de la maladie, comme par exemple celle de la gestion de territoires pour les animaux sauvages ou celle de la prévention des grande maladies contagieuses animales.

Au fil des années, j’ai donné des conférences et me suis intéressée à des aspects qui n’étaient pas encore courants à l’époque, comme les interactions entre l’animal et sa famille humaine. Pendant mes années d’étude, on trouvait très peu de femmes dans les écoles. J’ai développé des consultations pour conseiller des futurs maîtres sur le choix de la race d’animal de compagnie qui conviendrait le mieux. À l’époque cela ne se faisait pas… Tout cela a constitué mes centres d’intérêt, mais aujourd’hui encore je reste passionnée par la santé d’un élevage, et je reste très proche de l’agriculture biodynamique ou de l’homéopathie vétérinaire.

J’appartiens à une « famille vétérinaire » internationale qui s’intéresse à toutes les approches parallèles à l’allopathie. Avec les Américains, je me suis intéressée à l’acupuncture et à la médecine chinoise. J’ai travaillé beaucoup aussi en m’inspirant d’une consœur du Nevada sur la prévention du sida du chat. Pendant mes dernières années de clientèle, je me suis spécialisée dans les soins palliatifs et l’accompagnement des maladies incurables.

Mes centres d’intérêt n’ont pas été classiques, comme la cardiologie ou l’imagerie médicale, mon but étant plutôt d’intervenir  en amont de la maladie pour encourager la santé.

Votre livre s’intitule : Rencontre avec le monde animal - Communication Intuitive®. Que faut-il entendre par là ?

Dr A. E. La Communication Intuitive® est un terme que j’ai inventé dans les années 90 pour décrire le processus que je mettais en œuvre pour entrer en communication consciente avec un animal. Je l’ai déposé quelques années plus tard, parce que, lorsque j’ai décidé de transmettre cette manière de fonctionner, j’ai voulu qu’elle soit identifiable non seulement par une manière de faire mais aussi par un vocable. Donc, puisqu’au départ j’ai été obligée de trouver un nom pour cette nouvelle approche, j’ai choisi le même terme : c’était la continuité.

La Communication Intuitive® est une forme de communication psychique avec un animal. Il existe différentes manières pour réaliser de tels échanges dans différentes cultures. Une approche connue de tous est celle du chamanisme, mais d’autres sont proposées sans être toujours bien définies.

L’approche que je propose a la particularité d’être transmissible à travers un protocole conscient et structuré, qui peut être tracé. J’ai étudié d’abord comment le cerveau humain était en mesure (ou non) d’établir cette communication psychique. Puis, comme je suis formatrice depuis le début de mon activité, j’ai cherché les manières de transmettre cette capacité que nous avons pour la réveiller chez autrui.

Comment peut-on utiliser cette approche ?

Dr A. E. Nous avons souvent l’impression qu’avec nos animaux il se passe des échanges qui nous influencent mais que nous ne comprenons pas vraiment. Cela vient de notre animalité personnelle, qui nous permet de vibrer intérieurement face à l’agressivité d’un animal ou à sa peur. Nous ne savons interpréter ces informations que par notre habitude de l’espèce en question, qui nous fait savoir, par exemple, qu’un chien montrant les dents est mécontent. Il existe donc dans les échanges avec les animaux des critères objectifs (observation) mais également des critères subjectifs (résonance animale individuelle). Dans notre espèce humaine, ces capteurs d’animalité sont fonctionnels mais, en général, ils ne sont pas conscients.

Le travail de la Communication Intuitive® est d’amener ces deux pôles à la conscience et de permettre leur confrontation. Le but est d’optimiser la valorisation de ces informations qui peuvent s’avérer extrêmement utiles à l’animal et aux personnes qui le côtoient. L’information ainsi disponible permettra de faire des choix plus efficaces. Il s’agira, par exemple, de sélectionner un chiot destiné à devenir un chien d’aveugle qui doit pouvoir subir un entraînement intensif et de longue durée, lequel est onéreux ; pour un cheval de compétition, la communication permettra de savoir s’il s’agit d’un battant, etc.

La Communication Intuitive® nous donne des outils complémentaires à l’exploration médicale, à l’éthologie, au dressage, et permet d’affiner notre relation avec l’animal et d’aller plus loin avec lui.

La question qui se pose est de savoir si cette relation est bien réelle ?

Dr A. E. L’information reçue est confirmée par des vérifications comportementales chez l’animal, ou même médicales si c’est approprié. C’est ce que j’explique et demande aux personnes que je forme : confronter les réponses avec le réel à chaque fois que c’est possible.

Je dois aussi préciser que, durant les stages que j’anime, je fais faire des exercices à une vingtaine de personnes en même temps et avec le même animal, ce qui permet de comparer les réponses qui se recoupent généralement à 80 %. Ce qui ne veut pas dire que les autres informations sont nécessairement fausses. C’est quand même troublant…

Est-ce qu’il n’existe pas une part d’interprétation chez la personne qui reçoit la réponse de l’animal ?

Dr A. E. Évidemment, on y met du sien. C’est impossible de faire autrement, parce que nous sommes des êtres subjectifs. Par exemple, par notre attitude plus ou moins ouverte, nous allons influencer sa façon de répondre.  L’anthropomorphisme est souvent évoqué ici : comprendre et interpréter les informations reçues ne peut se faire qu’à la mesure de ce que nous sommes. Mais ceci est valable dans tous les domaines de notre vie sans exception - le refuser ici se justifie donc difficilement. Par contre en être averti et rester prudent (se dire : « ce que j’apprends de cet animal est une hypothèse, dont je serai sure quand elle sera confirmée dans les faits ») est déjà un très grand pas. De plus, certaines personnes ont des aptitudes plus ou moins subtiles pour transmettre ou recevoir des messages avec les animaux. En résumé, il n’est pas possible d’empêcher l’interprétation, on peut seulement y être attentif et la minimiser le plus possible.

Communiquer ainsi est un travail « de dentellière », dont le but est d’apprendre à devenir de plus en plus fin, ce qui s’acquiert avec la pratique. Au début, on ne s’aperçoit pas que l’on se trompe, tant on est content de pouvoir communiquer, puis on s’aperçoit que l’on se trompe, ce qui peut décourager. Si on passe ce cap, on développe l’envie d’affiner la qualité du travail.  Mon rôle est d’accompagner les personnes qui veulent apprendre à travers ces différentes étapes pour qu’elles deviennent opérationnelles.

Les vétérinaires utilisent-ils cet outil de la Communication Intuitive® ?

Dr A. E. J’en ai formé un certain nombre et j’interviens régulièrement dans des associations professionnelles. Je suis également en contact avec des vétérinaires de clientèle ou de parcs zoologiques qui font appel à moi pour compléter leur approche professionnelle. Certains vétérinaires qui ont appris à utiliser cet outil font le choix de l’utiliser dans leur cabinet, tout en étant attentifs à ce que cela n’interfère pas négativement avec leurs tâches habituelles.

La formation est-elle longue pour obtenir des contacts ?

Dr A. E. La formation de base que je propose dure cinq jours. On peut la suivre en une ou plusieurs fois, en fonction de sa disponibilité et de ses affinités, chaque atelier ayant un thème particulier. Par exemple, le chat, ou le chien d’aveugle, ou les animaux sauvages blessés, etc. La technique de base que je propose est toujours la même, mais le centre d’intérêt des animaux détermine l’utilisation particulière de cette approche. En 5 jours, la plupart des personnes parviennent à effectuer des communications psychiques validées,  et sont capables d’en refaire chez eux ensuite.

Les aspects suivants (comme se rendre compte des limites de l’outil, en quoi ce nouveau regard change notre quotidien avec nos animaux,…) viennent souvent après, et chacun ne se pose pas les mêmes questions.

En ce qui concerne les « échecs », on peut aussi ne pas y arriver tout de suite et réussir plus tard… Il faut accepter notre rythme personnel : dans cette formation il s’agit de trouver un nouvel équilibre avec notre monde inconscient et il n’est pas souhaitable de modifier nos fonctionnements intimes en force. Par exemple, des personnes qui traversent une  phase difficile de leur vie ont souvent plus de difficulté à vivre l’apprentissage. Ce qui aide est d’avoir l’esprit ouvert et un désir sincère, mais aussi du bon sens.

Dans quelles conditions a eu lieu pour vous cette première rencontre de Communication Intuitive® ?

Dr A. E. Ce fut une rencontre longuement préparée. J’avais commencé d’abord par lire un livre de J. Allen Boone qui m’avait été offert : Des Bêtes et des hommes. Il racontait des expériences télépathiques (un domaine étranger pour moi) faites par l’auteur avec un chien. J’ai été interpellée à la lecture de ce livre, me disant que si un journaliste arrivait à échanger des informations avec un chien ou avec une mouche, pourquoi n’y arriverais-je pas aussi ? À l’époque j’étais totalement inconsciente que le formatage mental que j’avais reçu dans mes études représentait un inconvénient majeur.

J’ai lu et relu ce livre pour cerner comment l’auteur s’y prenait. À l’époque, j’avais commencé une forme de méditation et quand il disait qu’il fallait faire le vide dans sa tête cela ne m’était pas totalement inconnu, même si je n’y arrivais pas facilement. C’était d’autant plus difficile qu’en l’occurrence j’avais un objectif... J’ai mis longtemps à me représenter à l’intérieur de moi le processus suivi par l’auteur. Ensuite il m’a fallu encore du temps pour trouver une bonne question à poser à un animal : je la voulais assez simple et quand même assez intéressante pour que je puisse en tirer des conclusions analytiques. Et puis j’ai mis du temps à me décider pour un interlocuteur animal, dont je pensais qu’il devait être suffisamment intelligent pour que la communication ait un certain intérêt. Je partais, comme vous le constatez, de fort loin et non sans arrogance.

Se posaient aussi des problèmes d’ordre logistique : il ne fallait pas que je connaisse trop bien l’animal et il était nécessaire aussi que ses maîtres soient d’accord avec l’expérience projetée, sans que je leur en dise trop…Comme je travaillais à l’époque sur la Côte d’Azur j’ai demandé à des propriétaires étrangers si je pouvais passer une heure avec leur chien Fiorino dans leur jardin, ce qu’ils ont accepté sans me poser de questions… (rires)

Comment s’est passée votre rencontre ?

Dr A. E. J’ai demandé à Fiorino s’il pouvait me donner des conseils pour devenir une meilleure vétérinaire. Je pensais qu’il allait me faire des remarques pratiques et en fait j’ai reçu dans mon champ de conscience une information très étrange et très troublante : d’abord un fort tremblement (que j’ai ressenti physiquement !) ; ensuite, alors que j’avais les yeux fermés, j’ai ressenti les yeux du chien qui s’approchaient de moi, comme dans un rêve éveillé, pour me scruter ; je l’ai entendu et vu soupirer, comme s’il était découragé. L’information qui est arrivée a été celle-ci : « Avec toi… je ne sais pas par quoi on peut commencer ! »

À l’époque de cette expérience j’étais le troisième vétérinaire français à avoir reçu le diplôme américain d’acupuncture, j’avais suivi beaucoup d’autres formations, j’étais dynamique dans mon domaine professionnel, je ne m’attendais vraiment pas à ce qu’un animal me signifie que je pouvais recommencer à zéro… La surprise m’a fait ouvrir les yeux et j’ai vu que Fiorino était à côté de ma chaise longue et qu’il s’éloignait. Le reste du temps que j’ai passé dans le jardin avec lui, il ne s’est plus intéressé à moi.     Mon cerveau analytique s’est mis alors à fonctionner à toute vitesse : je me suis demandé si j’allais choisir d’oublier rapidement cette vexation ou si j’allais m’intéresser à ce qui s ‘était passé. C’est finalement la curiosité qui l’a emporté. J’ai répété l’expérience depuis des centaines et même des milliers de fois.

Ce contact peut-il exister après la mort de l’animal ?

Dr A. E. Cela a été une deuxième révélation qui est arrivée plusieurs années après. J’avais été sollicitée par une personne qui voulait que je l’aide à retrouver son chien. Nous ne savions pas, sa maîtresse et moi, qu’il était mort. J’ai communiqué avec lui et je lui ai demandé ce qu’il avait fait depuis qu’il avait quitté sa maison. Le chien m’a montré qu’un homme l’avait fait monter dans une petite 4 L fourgonnette, qu’on l’avait fait descendre dans un champ et abattu d’un coup de fusil à bout portant. La maîtresse a été choquée car elle avait pu identifier par ma description l’auteur de ce forfait (qui lui a confirmé plus tard s’être ainsi vengé des dégâts faits chez lui par cet animal).            Pour ma part, j’étais choquée aussi, parce que j’ai réalisé alors que je venais de communiquer avec un animal mort. Je ne savais pas alors que c’était possible ; l’idée ne m’était même pas venue d’essayer.

Ayant refait depuis d’autres contacts, je n’ai pas l’impression de changer de manière de procéder suivant qu’il s’agit d’un animal mort ou vivant. Je suspecte donc que le contact reste possible avec un animal décédé car il se fait avec son énergie psychique, qui persiste en tant qu’individualité définie bien qu’elle ne se trouve plus manifestée sur la Terre.

Il est difficile pour une communication de ce genre de ne pas penser à une forme de médiumnité !

Dr A. E. Pour ma part, je crois que la Communication Intuitive® est effectivement une forme particulière de médiumnité. D’après ce que je comprends, la médiumnité permet de contacter l’énergie psychique de différents niveaux.  Dans la Communication Intuitive® telle que  je la pratique et l’enseigne, l’objectif est de capter un niveau bien précis : celui du conscient d’un animal, c’est-à-dire ce qu’il sait, comprend, ressent, observe.Certains utilisent ce qu’ils ont appris de moi pour communiquer avec des plantes, des bébés… J’ai personnellement fait le choix de me limiter aux animaux, car c’est déjà un très vaste domaine.

Dans votre livre, il apparaît que les animaux n’ont pas peur de la mort

Dr A. E. L’expérience de nombreuses communications me fait croire que les animaux n’ont pas du tout la même relation que nous avec la mort. Il faut cependant nuancer ceci  selon que l’animal a été mis en contact avec l’être humain ou pas. L’animal domestique (une petite frange d’espèces dans l’océan du règne animal), est influencé par la structure de l’être humain qui, lui, a ce voile avec la mort. Il peut donc être « contaminé » par la peur de la mort de son maître mais sans identifier qu’elle ne lui appartient pas. Il peut aussi, sans ressentir la peur de mourir, craindre de quitter son maître quand il comprend que cela va lui faire de la peine. Il est dommage que les animaux perdent de cette spontanéité avec la mort pour prix de leur attachement avec nous. Si les hommes se libéraient de cette peur de la mort, ils libéreraient aussi leurs animaux. Chaque progrès que nous faisons dans notre conscience bénéficie aux animaux.  ∆

N° 299 Mai 2024

AU-DELA-299

En vente au prix de 6,50 €


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Numero

SOMMAIRE :

03 : Éditorial     
06 : Georges Morrannier : 
       Ce que vous deviendrez après la mort
08 : Message du Père François Brune
09 : Les messagers de l'Invisible
10 : Père Pio : La ruche du Bon Dieu
     : Marthe Robin : Message
     : Hélène Bouvier : Message 
12 : Entretien : Marie-Anne Colombani
15 : ORE : Des visiteurs de l'un et l'autre monde
18 : Les charismes : Manifestations après la mort
19 : Ces expériences qu'ils vivent :
       Un arrêt dans le temps
20 : Rubrique : Un adolescent médium,
       homme clé du débarquement
22 : Chronique Dr Charbonier : Les dernières journées
       de PCH à Paris
24 : Réflexion : Depuis Pâques, la mort n'existe plus
24 : Bénédiction : Réchauffer les cœurs
25 : Le bonheur, ça se construit :
       Merci mon guide
26 : Prière et méditation : 
       Sérénité
27 : Paroles
28 : Actualités :
     - Aimer la Terre
     - Petites nouvelles 
     - On en parle : Entre infographie et spiritualité :
       Mon chemin vers l'essentiel
31 : La pensée du jour de Père Pio : 
       (Mars 2024)
       Chapeau : La cuisine du 101
32 : Matière à réflexion
32 : Association
33 : Conférences et médiumnité :
       Mai 2024
36 : Découvrir la nature : Pigcasso
       Biomimétisme et astuces de la nature :
       Le colibri et les drones
37 : Livre du mois :
       Les preuves de la vie après la vie,
       les 7 raisons de croire en l'après-vie

38 : Livres et anciens numéros
40 : Bonnes feuilles : 
       La musique : extrait de :
       Les preuves de la vie après la vie
       de Raymond Moody 
42 : Courrier
43 : À découvrir

 

 

Dr Jean-Jacques CharbonierEdwina Descloux  Anne-Marie Lionnet Yves Linès Etienne Drapeau Pierre PradervandFrançoise Flamant Jean Prieur Mireille DrapeauPère André Marie


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