Yves Linès Yves Linès

Il pratique la transcommunication instrumentale (TCI) dont il est devenu un  « spécialiste » apprécié.
Il donne dans toute la France des conférences.
Il est le président de l'association Agapé source de vie Toulouse
ouvrage : Quand l'Au-delà se dévoile (éd. JMG)




Rencontre
(Revue de l'Au-delà  n° 15 - juin 1998)

Yves Lines qui dans notre dernier numéro (mai 1998) faisait état d’une nouvelle étape dans la Transcommunication instrumentale (TCI) - il évoquait les principales conclusions du Congrès de Mexico— la pratique depuis plusieurs années. Il a même été amené à rechercher les contacts avec l’Au-delà pour les autres. est devenu aussi conférencier pour en parler, ce qu’il fait avec un véritable sens spirituel.

Cet entretien permettra de comprendre son évolution: comment il a été amené à s’intéresser à la TCI, ses joies et ses difficultés dans les contacts recherchés, sa recherche personnelle. La transcommunication instrumentale constitue un nouveau moyen apporté par la technique moderne d’entrer en communication avec le monde invisible.

Nous n’en sommes vraisemblablement qu’au tout premier stade. Magnétophone, télévision, fax, ordinateur et même téléphone se prêtent, en effet, à être autant de possibilités complémentaires qui apporteront leur moisson de messages. Messages destinés au réconfort et qui feront aussi découvrir à certains cet Au-delà qui les attend.


Comment avez-vous été amené à vous intéresser à la Transcommunication instrumentale (TCI) ?

Je me suis ouvert à la Trancommunication après la mort de ma mère à laquelle j’étais très attachée et avec qui même je vivais en véritable osmose. Jusqu’alors, j’étais très cartésien, mais, à son décès, j’ai refusé laMaman de Yves Linès réalité apparente de cette rupture. La mort ne m’est plus apparue tout à coup comme un terme, une fin. Ce sentiment m’a amené à vouloir vérifier si cet Au-delà dont on m’avait parlé lors de mon éducation religieuse, et sur lequel j’avais glané quelques informations, constituait bien une réalité. J’ai donc entrepris une recherche qui m’a amené à la Transcommunication.


Quelles étaient vos croyances?

J’ai été élevé dans la religion catholique. Plus tard, je m’en suis écarté considérant que ce que j’avais appris étant enfant dans mon catéchisme me paraissait difficilement compatible avec ce que la vie de tous les jours m’enseignait. J’en conservais, pour tout dire, une conception qui me paraissait enfantine, peu réaliste.


Qu’est-ce qui vous a orienté vers la Transcommunication?

On m’a offert - ce qui m’incite à croire que nous sommes parfois guidés - le livre de Patrice Van Eersel, La source noire, où il parle des NDE. Je crois que c’était une bonne approche puisqu’il s’agit de personnes qui sont revenues de l’autre monde. Cela a été capital pour moi de faire cette découverte. Le hasard (?) a voulu après que je lise le livre du père Brune, «Les morts nous parlent», qui m’a fait un bien énorme parce qu’il correspondait vraiment à ce que j’attendais à ce moment-là.

Dans la bibliographie de cet ouvrage, j’ai trouvé cité le livre de Monique Simonet, À l’écoute de l’invisible, que j’ai bien sûr acheté rapidement. Elle aussi expliquait que l’on peut avoir des contacts avec les trépassés au moyen d’un magnétophone. Cela m’a beaucoup frappé parce qu’il s’agissait d’un appareil dont on se sert communément, qui est à la portée de tous, alors que la médiumnité ne concerne qu’une certaine catégorie de personnes.

Par la suite, j’ai écrit à Monique Simonet pour qu’elle m’obtienne un message. Étant malade, elle m’a répondu négativement. J’ai plaidé à nouveau ma cause avec insistance, car l’obtention de cette cassette m’était devenue indispensable. Voyant ma détermination, Monique Simonet m’a alors conseillé d’essayer d’établir moi-même ce contact avec ma mère.

J’ai acheté le matériel dont j’avais besoin : un simple petit magnétophone dont elle donnait la description Bureau de Yves Linèsdans son livre. À ce propos, j’ai remarqué que le matériel le moins complexe est souvent le plus pratique, le plus efficace. Ceci signifie pour moi que toute personne qui a de la peine, quels que soient ses moyens financiers - sinon ce serait sélectif ! - a la possibilité de tenter ces contacts.


Sur un plan pratique, il faut quand même un ralentisseur!

Effectivement. Les voix de l’Au-delà sont à 80 % données avec des débits rapides. Il faut savoir en effet que les vibrations du corps spirituel s’accélèrent après la mort. Ce variateur de vitesse permet de ralentir les messages pour nous les rendre plus audibles. En fait, dans la pratique, on constate qu’il existe plusieurs catégories de voix certaines sont métalliques, d’autres plutôt caverneuses et il existe ce que l’on appelle les voix-souffles. Ce qui entraîne, on s’en doute, autant de réglages en conséquence.


Comment avez-vous procédé la première fois?

Je me suis conformé aux indications fournies par Monique Simonet. Il faut un support aux entités, c’est-à-dire un bruit de fortes vibrations, qui leur apporte de l’énergie pour transmettre leurs messages. J’ai donc branché mon petit magnétophone en utilisant un micro extérieur et j’ai fait couler de l’eau pour avoir le support. J’appelais, je questionnais. Je crois, en fait, que je faisais barrage car j’ai mis trois mois pour obtenir mon premier message. Je dis cela parce que j’appelais avec une grande émotion, un ton suppliant, proche du désespoir. Mon chagrin m’étreignait et j’étais donc assez négatif.

Ceci, je l’ai compris par la suite. J’ai pris conscience que lorsque j’essayais d’avoir des contacts pour des personnes très douloureusement touchées et enfermées dans leur chagrin, nous ne recevions pas ou peu de messages.Par contre, si on appelle avec sérénité et amour, les messages sont plus nombreux et plus forts.


Vous avez obtenu votre message au bout de trois mois?

Oui, trois mois. J’appelais tous les soirs une demi-heure, alors qu’il faut le faire au maximum dix à quinze minutes. Je m’acharnais et, en même temps, je désespérais avec beaucoup de pensées négatives dans la tête. Je me disais que tout cela était faux, que ce que j’avais lu était une recette pour vendre des livres, etc. Et puis, un jour, alors que je ne m’y attendais plus, et que la routine me guettait, le miracle, si je puis dire, s’est réalisé. J’ai entendu la voix de ma mère, parfaitement reconstituée, identique à celle qu’elle avait sur terre, ce qui est assez rare. J’ai eu de surcroît la chance, ce qui a été déterminant pour la suite, parce que j’étais sûr de l’avoir obtenue, d’avoir aussi un mot de code. Elle avait l’habitude en effet quand elle parlait de quelqu’un qui était désespéré de l’appeler « Pôvre Un tel ». Et sur la bande j’ai entendu : « Pôvre Yves », avec non seulement sa voix mais aussi son intonation. Ce qui excluait toute méprise.
Yves Linès

Quelle a été votre réaction?

Ma réaction n’a pas été du tout ce qu’elle aurait dû être, du moins ce que je pensais qu’elle serait. Je me voyais sauter au plafond de joie avec un cour battant la chamade... En fait, j’ai pris cela comme si c’était normal. Presque comme un dû.

En revanche, j’ai passé toute ma soirée à repasser l’enregistrement, ainsi que les jours qui suivirent...

Sur la bande, tout à la fin, j’ai trouvé un autre message - le premier se situait à peu près à la moitié de l’enregistrement qui dure une demi-heure. Ma mère dit « Je te quitte... on m’appelle ». La voix est moins nette dans ce passage. Elle devient comme souvent un peu caverneuse. Ce qui, je dois l’avouer, m’a un peu dérangé au début.


Après cette première semaine, vous avez évidemment cherché à obtenir un nouveau message...

Tout à fait. Mais le premier que j’ai obtenu était beaucoup moins net, en un mot moins terrestre. J’en ai reçu d’autres également qui n’étaient même pas très audibles. Il m’a fallu attendre un peu plus de deux mois pour obtenir un message presque comparable au premier en qualité de son. Je crois sincèrement que le monde invisible a fait un gros effort la première fois afin de m’éviter le moindre doute sur l’authenticité du contact et m’inciter à persévérer.


Que s’est-il passé ensuite?

Après j’ai «décidé » de prendre des messages pour les autres. Je mets ce mot entre guillemets car, en fin de compte, je pensais aussi à moi, à mon propre réconfort. Au fond de moi persistait un doute. Je craignais que ce que j’avais obtenu ne soit le fruit de mon subconscient. Je ne pouvais m’empêcher de penser que je connaissais les réponses et que ceci pouvait expliquer cela. En le faisant pour les autres, je levais toute ambiguïté. Dès lors que j’obtenais des messages pour eux, cela signifiait que mon propre message était validé.

Tout s’est enchaîné rapidement. C’est pourquoi je pense que nous sommes guidés dans notre existence. Je me suis inscrit à «Infinitude». Et comme l’association publiait les noms de ceux qui faisaient de la transcommunication, une personne de la région toulousaine m’a contacté pour créer une association afin d’aider ceux qui avaient perdu un membre de leur famille. Nous l’avons constituée, en 1992, et l’avons appelé «Alpha Omega ». Je dois préciser que nous ne l’avons pas créée pour avoir des adhérents mais plutôt pour nous faire reconnaître et avoir un statut officiel.

Je dois préciser ici qu’il existe en France une association de Transcommunication instrumentale, «Infinitude», dirigée par Jacques Blanc-Garin et Monique Laage, qui compte maintenant 1500 adhérents. Elle oeuvre dans l’aide et le soutien aux personnes en deuil par un suivi effectif dans l’information de la technique de ce procédé et de tout ce qui s’y rattache. L’association assure aussi une présence morale constante par l’apport d’un réconfort réel à tous ceux confrontés à cette terrible épreuve de la «séparation provisoire».


Quelle est votre finalité?

Notre objectif est d’établir des contacts pour les personnes ayant perdu un être cher. Ceci afin de leur prouver sa survivance et leur apporter aussi l’espoir qu’ils se retrouveront. Avec le message nous leur apportons la preuve que le lien affectif n’est pas rompu. La vie continue après la mort.                             Le livre de Monique Simonet

Tout d’abord des Toulousains sont entrés en relation avec nous, grâce au bouche à oreille. Plus tard, il s’est agi de personnes venant de toute la France, celles que Monique Simonet, surchargée de demandes, nous a envoyées puisque nous lui avions fait savoir que nous étions prêts à aider les gens en deuil ainsi qu’elle le faisait.


Comment se déroulent ces contacts ? Est-ce plus facile pour vous?

Je voudrais tout d’abord dissiper une illusion que l’on rencontre parfois. Une personne en deuil désireuse d’un contact par le moyen de la TCI ne doit pas considérer qu’il s’agit d’une sorte d’appel téléphonique qui va lui permettre d’être constamment en relation avec l’être aimé, de suivre son évolution dans l’Au-delà et d’avoir de ses nouvelles à la demande. La TCI est permise dans le but de réconforter. Une fois le contact établi, je ne dirai pas que cela s’arrête là, mais l’essentiel est alors de commencer ou de poursuivre un chemin spirituel.

Comme tous ceux qui essayent d’établir fréquemment des contacts pour les autres, je pense, que l’autre monde nous donne certaines facilités. Je crois sincèrement que si j’essayais de ne contacter que les miens, les contacts seraient moins probants.


Pourquoi ces personnes ne le font-elles pas eux-mêmes au lieu de demander votre concours?

D’après mon expérience, c’est imputable à plusieurs facteurs. Le fait que le message soit obtenu par un autre renforce la crédibilité du contact, ainsi d’ailleurs que je l’ai moi-même pensé au début. Certaines personnes se sentent également fragiles pour appeler et même ont peur. Et c’est vrai que la TCI comporte des risques comme tout contact avec l’Au-delà. Enfin, on ne peut exclure que parfois des demandes soient motivées par la facilité de passer par un autre.

Dans un autre cas de figure, il peut s’agir de personnes qui ont essayé, mais qui, n’ayant obtenu aucun contact ou seulement des messages inaudibles, se sont découragées et nous demandent de prendre le relais.

Je crois que c’est une des lois de l’Au-delà: il faut être patient, persévérant, alors que notre société moderne nous a habitué à obtenir ce que nous désirons, et rapidement. Si l’Au-delà répondait facilement à notre demande, notre recherche spirituelle ne serait pas aussi approfondie.


Toute personne est-elle susceptible, à votre avis, d’établir un contact par Transcommunication?

Ceci n’engage que moi : je pense que Dieu étant tout amour, toute personne confrontée à un deuil doit pouvoir bénéficier d’un contact afin d’être réconfortée. Ce réconfort me paraît essentiel, tout autant pour la personne décédée que pour celle restée sur terre, laquelle peut ainsi s’ouvrir à une vie plus spirituelle


Existe-t-il, d’après votre expérience, des cas où des personnes ayant cherché des contacts sérieusement et avec assiduité, n’ont rien pu obtenir?

Personnellement, je n’en connais pas, mais je sais que cela est arrivé. L’explication est peut-être qu’il y faut une certaine habitude. Au début, il est vrai que l’on a du mal à repérer les messages et que certains peuvent échapper à notre attention. Il arrive ainsi en repassant les premières cassettes de trouver des messages passés d’abord inaperçus.


Ceci m’amène à vous demander de nous parler de la qualité des messages et aussi de leur longueur.

Les messages par cette méthode microphonique ne sont pas très longs. Ils peuvent comporter jusqu’à six ou sept mots, au plus, c’est-à-dire l’équivalent d’une phrase normale, mais parfois constituer aussi une phrase entière.
Quand l'Au-delà se dévoile de Yves Linès
En ce qui concerne la qualité morale des messages - je parle toujours en fonction de ma propre expérience - le leitmotiv des entités est la certitude des retrouvailles : « Je t’attends...» disent-ils, « on t’attend... », «nous t’attendons. ». Et puis, ce sont bien sûr des messages d’amour. En ce moment, je suis en train de vivre une période où il est dit sans arrêt : « Il faut aimer... » ou « Il faut s’aimer... ou encore « Il faut essayer d’aimer. » Le mot « aimer» revient constamment.



Et sur le plan technique?

C’est très variable. Souvent, il s’agit de messages très rapides. et alors je suis obligé de mettre le retardateur au maximum. Dans d’autres cas, le message tel que je le reçois est prononcé à un débit normal et tout à fait compréhensible.


Peut-on expliquer que la qualité des messages soit si différente, toujours sur le plan technique, d’une personne à une autre faisant de la TCI?

C’est assez difficile de vous répondre. En ce qui me concerne, cela a correspondu avec le changement de la méthode que j’employais. Quand je me servais du support eau, je recevais moins de messages audibles. Ils pouvaient même être parfois sujets à interprétation. Les messages sont devenus beaucoup plus nets à partir du moment où j’ai commencé à employer le support des langues étrangères.

Il existe peut-être, en ce qui nous concerne, une autre raison. Nous effectuons cette recherche de contacts gratuitement. Malgré tout, certaines personnes sont si heureuses des cassettes qu’elles reçoivent, qu’elles tiennent à nous adresser des dédommagements financiers en quelque sorte. Nous leur retournions jusqu’au jour où l’on nous a suggéré de verser ces sommes à une association qui, elle, a besoin d’argent. Depuis, c’est ce que nous faisons en adressant cet argent à une association s’occupant d’enfants maltraités, et nous avons constaté que les messages sont devenus plus audibles.


Comme si les guides intervenaient pour vous faciliter la tâche!

C’est tout à fait cela. Il est possible, et je le crois très sincèrement, que nous avons été testés dans notre détermination d’abord de ne pas nous décourager, ensuite de travailler bénévolement.


Vous avez dit tout à l’heure que tout contact avec l’Au-delà comportait une part de risques, compte tenu du bas-astral. Vous est-i! arrivé d’avoir des manifestations de ce dernier?

J’ai eu effectivement des agressions du bas-astral. J’avais été prévenu par des médiums que lorsque j’arriverais à établir ces contacts, « la cavalerie du bas astral » se manifesterait et même se déchaînerait contre moi. Et c’est arrivé.

Cela a commencé par des insultes. Mais les insultes ne me dérangeaient pas. Soit je demandais aux entités de se retirer, soit je demandais à leurs guides de les aider. Jamais je n’ai eu de manifestations physiques.

Mais elles ne se sont pas arrêtées là. Lorsqu’elles ont vu que les insultes ne m’influençaient pas, elles ont contre-attaqué par ce qui me touchait le plus, par ma mère. Lors d’un contact personnel, une entité féminine s’est fait passer pour elle, en me donnant de mauvaises réponses signifiant qu’elle ne s’intéressait plus à moi. Elles ont, bien sûr, obtenu le trouble escompté. Heureusement que je n’étais plus novice en TCI, parce que cela m’aurait découragé.
Yves Linès et le médium Michèle Riffard
Le jour même, je me suis adressé à des médiums que je connaissais. Ils m’ont expliqué qu’il fallait que je me protège davantage, lis m’ont conseillé, en particulier, de demander l’aide et la protection de mon guide ainsi que des guides des gens que j’appelle.
J’ai suivi leurs recommandations et ai établi un nouveau contact. Il en était bien comme on me l’avait dit puisque lorsque j’ai questionné ma mère je l’ai entendu me répondre: « Il ne faut pas croire tout ce que tu entends. »

Ceci m’amène à souligner qu’il ne faut surtout pas, et à plus forte raison, brancher un magnétophone, par curiosité, par amusement même. Et qu’il faut, bien sûr, toujours se protéger.


Comment se protège-t-on contre ces vilaines incursions?

Il faut d’abord prier et demander l’aide de ses guides. Il faut également avoir beaucoup de discernement quand on écoute les enregistrements. Si une entité du bas-astral arrive à interférer malgré les protections prises, il faut refuser les messages négatifs en comprenant qu’ils ne peuvent pas provenir d’une personne qui vous aime ou qui aime le destinataire du message.


N’y a-t-il pas non plus un danger sur le plan énergétique?

Oui, il ne faut pas le sous-estimer non plus. Il m’arrive souvent de travailler tard le soir pour établir ces contacts. Et parfois, j’entends, au deuxième ou troisième contact, une voix qui me dit: «Arrête... » ou «Va te coucher... » ou encore : « Arrête, tu es fatigué ». S’il m’arrive de ne pas en tenir compte, les contacts s’en ressentent et deviennent à la fois moins longs et moins audibles.

J’adhère à l’idée que les entités ont besoin d’un support mais aussi de notre énergie. Il m’est arrivé de commencer un enregistrement en pleine forme et, celui-ci se révélant un peu long, de m’endormir sur le magnétophone...


Ceci explique peut-être la brièveté des messages?

Il est évident que nos interlocuteurs ont besoin de notre énergie. Mais je crois aussi qu’ils font de gros efforts. Je me rappelle que lors d’un contact qui se révélait difficile, j’ai entendu une voix qui disait: «Je manque d’ondes » et une autre lui répondre : « Demande à ton centre! » Ce qui reste assez énigmatique pour nous.

Il est sans doute encore plus difficile pour eux que pour nous d’établir ce contact car il leur faut utiliser des ondes différentes de celles qu’ils emploient d’habitude pour échanger. Ils reconstituent, en fait, leur voix humaine - c’est pourquoi il nous est difficile parfois de la reconnaître - comme le confirment certains contacts médiumniques. Dans tous les cas, il faut, et c’est essentiel, beaucoup d’amour et également apprendre la patience.                                                        Toulouse

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N° 302 Septembre 2024

AU-DELA-302

En vente au prix de 6,50 €


Destination
Numero

SOMMAIRE :

03 : Éditorial     
06 : Georges Morrannier : 
       Les animaux dans l'Au-delà
08 : Message du Père François Brune
09 : Les messagers de l'Invisible
10 : Père Pio : Accordez vos violons
     : Marthe Robin : Message
     : Hélène Bouvier : Message 
12 : Entretien : Catherine Kosmala
15 : Témoignage : Comment j'ai vécu ma mort - 
       Une pluie d'or
18 : Les charismes : Un phénomène lumineux
       éblouissant
19 : Ces expériences qu'ils vivent :
       Un cheval qui a bien changé
20 : Rubrique : Yannick Noah et l'Au-delà
       1er mai 2023 : Les quatre enfants colombiens
       perdus dans la forêt amazonienne
22 : Chronique Dr Charbonier :
       Etre courageux, c'est être vivant
24 : Réflexion : Je suis un bout d'éternité
24 : Bénédiction : vivifier sa joie
25 : Le bonheur, ça se construit :
       célébration et médiumnité
26 : Prière et méditation : 
       Prière et acousie
27 : Paroles
28 : Actualités :
     - Jeux olympiques
     - Petites nouvelles 
     - On en parle : La gazelle noire
31 : La pensée du jour de Père Pio : 
       (Juin et juillet 2024)
32 : Matière à réflexion
32 : Association
36 : Découvrir la nature : Ces animaux qui savent
       se soigner
       Biomimétisme et astuces de la nature :
       La crevette mante
37 : Livre du mois :
       Au secours sainte Rirta
38 : Livres et anciens numéros
40 : Bonnes feuilles : 
       Les autres mondes ou dimensions : extrait de :
       Flic guérisseur de Robert Martin
42 : Courrier
43 : À découvrir

 

 

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